Evènementiel

Depuis 2004,Invesport Conseil intervient sur le marché de la communication par l’objet, notamment dans l’univers évènementiel, en travaillant aussi bien aux côtés d’annonceurs, que d’agences spécialisées ;

Leur point commun : la recherche d’un partenaire solide alliant l’aspect conseil d’une agence et la réactivité d’une structure courte ; capable de proposer des solutions créatives, clés en main ; et garantissant la qualité et le respect des délais et des normes environnementales.

Fort de notre expertise et de la confiance que nous ont témoignée depuis notre création des marques et des agences de premier plan, nous intervenons plus particulièrement dans l’univers du Sport, domaine de prédilection de l’Agence.

En 2006, Invesport Conseil s’est donnée les moyens de ses ambitions, en assurant des fonctions complémentaires de créateur et de producteur.

- Créateur, nous apportons notre expertise dans la conception sur mesure d’objets originaux et personnalisés,
  pour une communication réellement efficace et valorisante.

- Producteur, nous nous sommes entourés des meilleures compétences pour que notre créativité puisse
  s’exprimer pleinement.

La solidité et le dimensionnement de notre réseau de partenaires, sont les clés de notre réactivité, dans la création autant que dans la réalisation ; de notre compétitivité en terme de coûts, et de notre exhaustivité dans le choix des matières et des types d’objets.

En Mars de cette meme année, Invesport Conseil s’est attaché pour le marché français, les services exclusifs d’un bureau de Trading hollandais, Implanté à Shanghai ; ce partenariat très étroit nous permet à la fois de suivre de très près les tendances du 1er marché producteur d’objets publicitaires, ainsi que de maitriser le cahier des charges de nos clients tant sur la qualité que sur les délais. Enfin, cela nous permet d’avoir une visibilité récurrente sur les usines fabricant nos produits, usines qui sont ouvertes à tous nos clients, pour d’éventuels audits ; même si nous travaillons nous même sur le respect des normes sociales et environnementales.

En parallèle et pour répondre à l’attente croissante de nos clients, l’agence a développé une véritable expertise dans la conception et la réalisation d’opérations d’incentive; C’est ainsi que certaines filiales du Groupe LAFARGE et du groupe Martin BELAYSOUD nous font confiance pour la gestion de leurs opérations de motivation interne et externe.

Après plusieurs années de collaboration active et de confiance renouvelée par Bouygues Télécom, SFR, Mattel, Intersnack (Lorenz & Vico), Gaumont, NBC Universal, nous sommes heureux de pouvoir compter parmi nos clients Accenture, Toshiba, Sharp ou encore Reebok, mais également des clubs de football comme le VAFC ou le SM Caen, qui nous ont confié lla réalisation d’une large gamme de produits pour leurs boutiques officielles 

Voilà, c'est officiel, on ne parle pas de l'arrivé de Dan Carter à Perpignan mais plutot de la réponse positive obtenue en ce qui concerne mon stage de fin d'étude.

Invesport conseil à accepter ma candidature suite à notre entretien à Paris.

Cette entreprise est composée d'une équipe trés jeune et dynamique.

Amaury Sport Organisation appartient au groupe de presse français E.P.A (Editions Philippe Amaury), propriétaire des titres l’Equipe, France Football, l’Equipe Magazine, Vélo Magazine, Le Parisien et Aujourd’hui en France. Le groupe s’est également développé dans l’audiovisuel, avec la création de l’Equipe TV, et dans les nouvelles technologies (www.lequipe.fr & www.leparisien.fr), au point d’être à ce jour l’un des acteurs majeurs du monde des médias français.

De son côté, A.S.O., créée en septembre 1992, s’est spécialisée dans l’organisation d’événements sportifs de renom, tels que le Tour de France, le Dakar et le Marathon de Paris. Depuis quelques années, l’heure est à la croissance, A.S.O. ayant intensifié ses activités dans le cyclisme (Paris-Nice, Tour of Qatar, Tour du Faso) et abordé de nouvelles disciplines, comme le golf (Open de France, le plus ancien tournoi d’Europe continentale) et les sports équestres (créant pour l’occasion un événement annuel baptisé R.I.D.E : Rencontres Internationales des Disciplines Equestres).

Derrière la panoplie d’événements internationalement connus et reconnus, Amaury Sport Organisation s’est fixé pour objectif de créer et de mettre en œuvre dans la durée des compétitions de haut niveau, spectaculaires et inscrites dans le respect des valeurs éthiques du sport.

A.S.O. est une entreprise qui s’est organisée en « métiers » : de la conception des compétitions avec les instances fédérales et institutionnelles, en passant par l’élaboration de programmes de partenariat, la logistique, les médias, l’édition, Internet, les relations publiques, ainsi que la production et la commercialisation de programmes de télévision, A.S.O. maîtrise l’ensemble des compétences et des savoir-faire nécessaires à la livraison de compétitions de grande ampleur ou d’un format plus limité. Chacun de ces événements bénéficie d’une logistique et de moyens adaptés à sa position dans le calendrier sportif, avec le souci d’une qualité constante et d’une organisation irréprochable.

Cyclisme, athlétisme, sports mécaniques, golf et sports équestres, cinq domaines dans lesquels la passion des équipes d’A.S.O. pour le sport s’exprime pleinement…

Alors oui l'Etat américain est venu en quelque sorte indirectement à la rescousse de Manchester United en sauvant AIG de la faillite. Oui, le basket ball français connaît une mini-crise surtout relayée par les medias, oui le l'équipe de France de football fait beaucoup parler d'elle, oui le handball français connaît un succès sportif mais ne transforme pas l'essai en communication et oui la Premier League de football semble s'être fourvoyée dans les méandres obscurs du business.

Les sports qui sont bien implantés culturellement et socialement dans un pays ne seront pas touchés. Pour les autres... Ainsi l'Espagne ne devrait pas être épargnée et les recettes de billetterie s'en ressentiront. Baisse du pouvoir d'achat et hausse des taux d'intérêt oblige. mais l'Espagne a une culture sport bien ancrée, particulièrement dans le football, ce qui n'est pas vraiment le cas en France. Notre pays, nous explique l'expert, ne peut pas s'appuyer sur une hausse du prix des billets d'entrée (comme on peut le voir en Angleterre - NDB (Note du blog) - ) ni sur une liste d'attente aux pieds des stades. Le sport en France serait un bien de consommation substituable par d'autres. Il prévoit de plus un recul des pouvoirs publics en matière de subventions, un possible recul des droits TV à terme et le secteur merchandising - si cher à nos clubs de football - touché.

Ça c'est la prévision. Mais elle a des conséquences. Il faudra bien réagir. Ainsi les coûts tenteront d'être maîtrisés. Les salaires subiront des modifications : concernant les sportifs le fixe l'emporte aujourd'hui sur le variable, ce qui est une aberration compte tenu de la variabilité des ressources, constat déjà avancé par de multiples spécialistes. Ceci sera revu. La dualité déjà présente se fera de plus en plus ressentir : d'un côté des sportifs qui devront toujours se battre pour prouver leur valeur et qui subiront les risques et de l'autre des sportifs situés à un rang supérieur et qui seront en quelque sorte protégés par leur statut. (M'enfin bon ! Ceci est une banalité dans le monde du travail (NDB). Clubs et fédérations étant au cœur du risque, des compétitions sortiront du lot au détriment d'autres.
JPL Minquet nous alerte sur le fait que des clubs s'en sortiront mieux que d'autres au sein même de championnats. Il nous précise aussi qu'en France, dans le monde du football notamment, on en est encore à penser au stade comme moyen de profit alors que les banques, elles, vont couper les ressources.

Dans cet état de crise qui frappe à la porte, ne serait-ce pas là, pour la France, la fin d'un système régulateur, certes, mais bourré de contraintes ? Ne serait-ce pas là par exemple la fin d'un système de gestion des droits TV par les ligues et non par les clubs ? Ne serait-ce pas là non plus la porte ouverte à des ligues fermées, loin de notre système actuel ? Ne serait-ce pas là... ?

L’annonce mardi du CSKA Moscou est tombée comme un couperet dans les milieux du basket : l’équipe féminine s’est retirée de l’Euroligue, le club ayant été lâché par son principal parraineur contraint de vendre sa société en raison de la crise. Et les nouveaux propriétaires ne s’intéressent pas au basket.

Un scénario semblable, voire plus grave, pourrait bien se reproduire pour d’autres formations sportives russes, prédisent des dirigeants et des experts russes.

« Les clubs de football, de hockey, de basket et de volley vont subir très vite des pertes financières, et il est possible que quelques-uns cessent d’exister », a affirmé le directeur général du club de basket Dynamo Moscou au quotidien Novie Izvesti.

Son homologue du CSKA, Andreï Vatoutine, lui emboîte le pas : « Je crains que quelques clubs de la super Ligue A ne tiennent pas jusqu’à la fin de la saison », a-t-il dit au quotidien Izvestia.

Le sport était considéré jusqu’ici par les sociétés qui le parrainent comme « un actif non stratégique », a expliqué l’expert Anton Orekh à la radio indépendante Echo de Moscou. En clair, « on pouvait s’offrir le plaisir de dépenser pour un jouet qui coûte cher », dit-il.

Mais vu l’ampleur de la crise en Russie, les entreprises qui injectent des dizaines de millions de roubles dans le sport d’élite vont « renoncer aux actifs non stratégiques », explique le directeur de l’Institut économique RAN, Rouslan Grinberg.

Les premiers effets se font déjà sentir dans les milieux du ballon rond, tandis que le hockey sur glace, très populaire en Russie, sera peut-être « davantage concerné » car dépendant surtout des compagnies métallurgiques ou minières, en première ligne dans la crise, souligne l’économiste.

« Pour le moment, nous préparons une rencontre avec les actionnaires pour arrêter les chiffres du budget de cette saison », a indiqué à Izvestia le président du club de football Lokomotiv, après la décision de la société publique des chemins de fer russes de réduire son financement.

Autres conséquences : la construction du stade du Spartak Moscou est reportée sine die, les sponsors de clubs vont diminuer leur apport ou tout simplement se retirer, et les salaires des sportifs diminuer, affirme Rouslan Grinberg.

Loin d’être le seul pays où le sport est touché par la crise financière, la Russie ressent plus durement ses conséquences car « les clubs de football ne possèdent pas des sources importantes de revenus de leurs homologues britanniques : les billets pour les matches sont beaucoup moins chers et les stades moins fréquentés », observe encore Grinberg.

De plus, les recettes publicitaires encaissées par « les 16 équipes de l’élite russe sont inférieures à celles perçues par un seul club du championnat britannique », le plus riche du monde, ajoute l’expert. « La paralysie des crédits, la nervosité générale, tout pousse à opter pour un mode de vie plus modeste. »

Reste à espérer que « la crise fera réfléchir sur la manière dont on dépense l’argent dans le football en Russie, qu’elle aidera à réajuster les salaires (NDLR : très élevés dans les clubs russes) et incitera à commencer à lutter contre les pots-de-vin », dit le directeur adjoint de l’institut des recherches macroéconomiques, Vladimir Kostakov.

Lance Armstrong, le septuple vainqueur de l'épreuve (1999 à 2005), participera au Tour de France 2009, indiquait lundi 1er décembre le site Internet de son équipe, Astana, sans aucune autre précision. Agé de 37 ans, l'Américain, détenteur du record des victoires dans le Tour, avait annoncé en septembre son retour à la compétition pour 2009 sous le maillot de la formation Astana, dirigée par Johan Bruyneel, le Belge avec lequel il a fait équipe à partir de fin 1998. Mais il avait jusque-là laissé planer le doute sur sa participation à la Grande Boucle 2009.

Un parfum de crise plane. Honda, le deuxième constructeur automobile japonais a annoncé, vendredi 5 décembre, son retrait de la Formule 1, en raison de la situation économique mondiale. "Honda va se retirer de la Formule 1 et 2008 sera sa dernière saison", a déclaré le président de Honda Motor, Takeo Fukui, expliquant que "cette décision difficile a été prise à la lumière de la dégradation rapide de l'environnement dans le secteur de l'industrie automobile, due aux subprimes américaines, au resserrement du crédit et à la récession des économies mondiales". Ce départ jette une lumière crue sur les difficultés de la F1 à s'adapter à un environnement économique et sociétal en plein bouleversement et devrait précipiter les mesures prises par la Fédération internationale de l'Automobile (FIA) pour réduire les coûts des écuries.

En 2008, Honda s'est classé au 9e rang des constructeurs avec 14 points. Pour éviter une disparition totale de l'écurie, le constructeur japonais pourrait éventuellement la vendre, ainsi que son département de développement et de fourniture de moteurs de course.

La Formule 1, sport aujourd'hui dominé par les grands constructeurs, risque de se retrouver avec un plateau réduit à 18 voitures si aucun repreneur n'est trouvé en un temps particulièrement court.

Pour éviter de voir la grille se réduire à un niveau inacceptable pour les sponsors et pour les télévisions qui achètent les droits de diffusion, la FIA a proposé, dès octobre, des mesures radicales de réduction des coûts, afin de permettre aux équipes de surmonter la crise financiere internationale.

Réagissant à l'annonce du retrait de Honda, le président de la FIA dit s'attendre à d'autres défections, a adressé, vendredi 5 décembre, une lettre aux patrons d'écuries pour préciser les lignes directrices du plan de l'institution en matière de réduction de coûts. Ce courrier explique que la FIA est en négociations avec le fabricant de moteurs Cosworth ainsi qu'avec des fournisseurs de transmission afin de proposer aux équipes qui le souhaitent un ensemble de propulsion complet.

Un changement qui devra être en place à partir de la saison 2010, selon la FIA. Le coût de cet ensemble, près de 2 millions d'euros payés à la signature du contrat puis 6,4 millions d'euros par saison sur trois ans, serait revu à la baisse si plus de quatre équipes signaient le contrat avec ces équipementiers. Des sommes très inférieures aux dizaines de millions d'euros dépensés par les équipes.

Ces mesures, couplées aux décisions qui devraient être prises pour limiter les dépenses de développement et de fonctionnement des équipes, devraient "permettre aux écuries indépendantes de survivre (...) rendre plus facile le remplacement d'une écurie de grand constructeur si (comme cela paraît probable) nous devons souffrir d'autres retraits, stabiliser la F1 tandis que des technologies susceptibles d'être utilisées dans les voitures grand public sont mises en place, (...) tout en évitant de voir le spectacle de la F1 changer". Face au danger d'extinction progressive de la F1, ses protagonistes ont intérêt à s'entendre rapidement.

Suite à l'ouverture de ce blog, voilà ma présentation personelle!

Actuellement en 3ème année à l'INSEEC Bordeaux, je suis à la recherche d'un stage de fin d'études (6 mois à partir du mois de janvier 2009).

Aprés un DUT techniques de commercialisation à l'université Paul Sabatier de Tarbes, je me suis orienté vers l'INSEEC qui proposait au cours de la première année une réelle ouverture d'esprit grace à certains cours mais aussi grace à des intervenants venant du monde de l'entreprise.

Lors de ma seconde année à l'INSEEC, je me suis orienté vers l'option markéting avec une spécialité markéting stratégique. Résolument interressé par les prises de décisions afin de trouver les solutions à des problèmes d'entreprises, je désire m'engager dans cette voie ou dans l'évènementiel.
Passioné de sport, je cherche à lier ma passiona vec mon métier, c'est pour cela que je cherche un stage qui me permettre de m'investir et m'épanouir pleinement.

Autonome, passioné par le travail en équipe, doté d'un bon relationel, disponible, capable de s'adapter à toute problématique mais aussi de travailler dans l'urgence, je souhaite pouvoir aporter une valeure ajoutée à l'entreprise qui sera interressé par ma candidature.

Bienvenue à tous

Aujourd'hui correspond à la création d emon blog Cv grace à l'intervention de Bératrice Penne, spécialiste en la matière et intervenante à l'INSEEC.

Ce blog qui a pour objectif de mieux me faire connaitre, vise à m'aider dans ma recherche de stage de fin d'étude mais aussi de faire partager mes connaissances, mes compétences et les différentes expériences que j'ai eu au cours de mon parcours scolaire puis professionelle dans les années qui vont suivre.

Je me tiens à votre entière disposition si vous avaez des questions et n'hésitez pas à me contacter par mail à l'adresse suivant:yoann.fumeron@orange.fr

Bonne visite et à trés bientot,

Yoann